chapelle de la roche

Il n'y a pas une seule forêt bruyèroise que je ne connaisse pas dans les moindres détails tellement nous les avons parcourues ensemble en famille.

Mon père nous a quittés le 27 mai dans sa 91 ème année et je garderai toujours en moi la passion qu'il m'a transmis pour BRUYÈRES et ses forêts.

C'est la raison pour laquelle, ce dimanche 31 mai 2015, je ressens la nécessité de faire une balade en forêt. Je décide d'aller dans un premier temps à la Roche de Fouchon. Je passerai ensuite par le Lac de Pointhaie, la route de Vervezelle et l'Avison.

Vous pouvez voir l'itinéraire sur la carte ci-dessous.

Prenant la rue de Vielsam, je marque déjà un arrêt à la Place du Sergent Tomosu HIRAHARA qui a été inaugurée le 19 octobre 2014.

Le 15 octobre 1944, il fut la première victime des combats pour la Libération de BRUYÈRES.

Merci de cliquer sur les photos pour les agrandir.

Poursuivant ma descente de la rue de Vielsam, un regard vers le Buemont, situé en arrière-plan du stade de football, puis vers le Home du Cameroun que je n'avais pas encore photographié depuis la fin des travaux d'extension.

Après avoir dépassé le Home du Cameroun, j'emprunte le chemin qui longe le lac de Pointhaie avant de rejoindre la "Ferme des Anges" à la base de Fouchon.

Arrivé à la base de la montagne de Fouchon, je suis le chemin forestier puis le sentier qui s'élève vers la Roche de Fouchon.

Sur ce sentier, je me revois avec mon père dans ma jeunesse. Je pense notamment à cette photo sur laquelle je suis avec lui en descendant de la Roche de Fouchon par ce même sentier.

Une fois arrivé à la Roche de Fouchon, je contemple le panorama que j'ai maintes fois photographié. Certes, aujourd'hui le ciel n'est pas au beau fixe mais cette balade a un caractère particulier et je compte bien pouvoir publier quelques images.

Après avoir balayé le paysage de l'Avison au Château, je redescends pour faire un crochet par l'Oratoire et la Crypte de la "Ferme des Anges"

Quittant l'oratoire, je retourne en direction du lac de Pointhaie que je contourne par la droite, ce sera l'occasion d découvrir toute une famille de canards qui n'ont rien de sauvage.

J'avance d'un bon pas, mon idée est de rejoindre la route de Vervezelle puis l'Avison après quelques arrêts près de l'étang de pêche de Pointhaie, puis à l'intersection avec le chemin qui fait la liaison entre la Peute Pierre et la route de Vervezelle.

C'est l'occasion de prendre des vues sur BRUYÈRES peu courantes mais non moins intéressantes.

Juste en arrivant sur la route de Vervezelle, je remarque un oiseau bien coloré tout proche du chemin. A ma vue, il s'éloigne un peu pour se tenir à distance de mon passage mais il ne semble pas vraiment dérangé.

Mon grand regret, le réflex muni du zoom est dans le sac photo que je porte sur le dos. Je n'ai que mon compact avec un zoom de 50 mm maxi en mains. Soit je prends le risque de sortir le réflex et l'oiseau s'envole, soit je me contente du compact et je serai bien éloigné ! C'est finalement la deuxième solution pour laquelle j'opte, pratiquement par obligation.

Je ne connais pas la race de cet oiseau, alors si un visiteur peut la citer en ajoutant un commentaire, je l'en remercie par avance. 

Je n'avais pas sitôt mis en ligne cette publication qu'une amie que je remercie m'a indiqué le nom ce cet oiseau : le Verdier d'Europe ou Chloris chloris. (Pour de plus amples renseignements merci de consulter le lien indiqué après la photographie) 

Une fois sur la route de Vervezelle, je rejoins le chemin qui part sur la gauche à la base de l'Avison vers la Chapelle de la Roche, juste avant la sapinière.

Mais à l'entrée de cette sapinière, je me dirige déjà vers la droite, me disant qu'il doit y avoir un point de vue.

A vrai dire, lorsque je parle de sapinière, je devrais utiliser le terme de pessière, qui est le nom d'une forêt ou d'une plantation d'épicéas.

Je découvre effectivement un point de vue qui s'étend de l'église au Buemont en passant par le Château.

Maintenant sur le chemin qui mène à la Chapelle de la Roche, je me retourne le temps d'une photo en direction de la Petite Avison.

Bien entendu, je fais un crochet par la Fontaine Saint-Georges avant de repartir en direction de la rue de l'Avison.

Juste avant d'arrivée à hauteur de la ferme Mougeolle, un arrêt pour photographier la campagne en direction du Borémont.

J'arrive maintenant à la rue de l'Avison juste au-dessus du quartier du Lavoir. Quelques photographies de ce point de vue récemment dégagé.

Ainsi se termine le récit de cette balade tout au long de laquelle j'imaginais la présence de mon père.

J'ai des souvenirs intarissables des balades que nous avons faites  ensemble et c'est bien là que je puise toute l'énergie pour développer la passion que j'ai pour ma ville natale de BRUYÈRES et la photographie.

A très bientôt pour de nouvelles publications et merci pour votre visite.

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Samedi 30 novembre et Dimanche 1er décembre 2013, je suis en séjour éclair à BRUYÈRES pour rendre visite à mes Parents.

Je ne suis pas venu spécialement pour prendre des photographies mais à défaut d'avoir pris le "gros matériel" pour si peu de temps, j'ai tout de même apporté mon dernier compact qui permet de faire des photographies de paysages qui n'ont pas à rougir d'être comparées avec celles prises avec un matériel réflex.

Bien m'en a pris d'apporter ce compact car le dimanche matin le ciel est prometteur, je ne tarde pas à prendre la décision de monter à l'Avison.

Vous pouvez voir ci-dessous l'itiniréraire emprunté au départ de la Place Stanislas.

De la maison, je rejoins la Place Stanislas. Le ciel commence à s’éclaircir. Si la Place Stanislas est encore dans l'ombre les premiers rayons de soleil font s'élever les brumes matinales.

Passant la Place Stanislas, la rue Jean Lurçat, la rue de l'Hôpital, j'emprunte ensuite la rue de l'Avison, je m'arrêterai au pied de l'Avison pour photographier le Quartier du Lavoir,

puis au départ du chemin de montée au Mirador, pour voir la vue sur l'Hôpital.

Le chemin de l'Avison est dans l'ombre, je distingue la brume matinale à travers les arbres. Arrivé au niveau des Roches de l'Avison où je retrouve la lumière et le soleil sur BRUYÈRES, je juge qu'il est encore trop tôt pour photographier ces Roches de l'Avison. Je le ferai au retour du Mirador.

J'arrive au point culminant de cette balade, le sommet de l'Avison. Le Mirador est encore partiellement dans l'ombre, je le photographierai lorsque j'en serai descendu.

Une fois au sommet du Mirador, c'est l'extase devant ce paysage assez changeant. Quelques nuages passent heureusement assez rapidement devant le soleil qui dessine alors des ombres sur BRUYÈRES et ses montagnes environnantes.

Les huit photographies ci-dessous représentent un balayage à 270° environ du point de vue du Mirador sur BRUYÈRES, les vallées et villages voisins.

Après avoir bien profité du point de vue, je descends du Mirador pour me diriger vers les Roches de l'Avison en suivant le chemin de crête de l'Avison. Mon intention ets de passer par la tête sculptée de l'Avison.

Je rejoins ensuite le chemin de l'Avison et les Roches de l'Avison qui sont maintenant bien éclairées par le soleil.

Sur la dernière photographie des Roches de l'Avison, imaginez une ligne verticale située au tiers de l'image en partant de la droite. Sur cette ligne au-dessus des roches vous voyez le tronc d'un hêtre qui se dédouble en deux hêtres jumeaux. La Tête sculptée de l'Avison est située sur un replat du terrain, juste derrière ce hêtre.

Généralement j'emprunte le sentier qui descend des Roches de l'Avison pour rejoindre la Chapelle de la Roche. Aujourd'hui le sol est humide et recouvert de feuilles. Je préfère éviter de faire une glissade sur les racines ainsi dissimulées par les feuilles mortes sur ce sentier. Je descends donc par le chemin de l'Avison que j'ai emprunté pour monter au Mirador.

Je ne le regretterai pas car un bel effet d'éclairage en contre-jour du sous-bois s'offre à moi.

Arrivé au niveau de la rue de l'Avison, je vois que l'Hôpital, le Quartier du lavoir, l'Eglise et le Château sont maintenant bien mieux éclairés par le soleil.

Un arrêt le temps de faire quelques photos avant de me diriger vers la Chapelle de la Roche.

J'arrive ensuite à la Chapelle de la Roche avant de continuer vers la Fontaine Saint-Georges.

Je monte ensuite vers le Parcours de Santé de la Petite Avison.

... Parcours de Santé que je ne suivrai pas. Il me faut rentrer sur BRUYÈRES.

Je range alors l'appareil photo et c'est au pas de charge que je reviens sur la Place Stanislas en passant par la rue Louis Marin, la rue de l'Hôpital et la rue Jean Lurçat.

Je me suis donné une mission importante, celle de passer à la boulangerie pour acheter un bon pâté lorrain, le pain et des choux à la crème chantilly pour ce midi.

Après l'effort, le réconfort !

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 Pour moi, la Chapelle de la Roche est un symbole du patrimoine Bruyèrois, je n'avais pas cherché à connaître les raisons à l'origine de sa construction au pied de l'Avison.

C'est Claude BAUMANN qui m'a apporté la réponse en m'adressant des extraits du Tome III de Paul MICHELON .

Pour reprendre les explications de Claude BAUMANN, je rappelle que Paul MICHELON, Père de Jean MICHELON professeur d'anglais retraité, était un passionné d'histoire et de recherches, notamment sur les Gentilshommes de Laveline, il demeurait Ruelle de la Cabée et était l'auteur de plusieurs volumes déposés au cercle généalogique de Saint-Dié  (Voir l'article "BRUYERES-VOSGES : du côté de la Ferme des Anges")

Pour en faciliter la lecture et la compréhension, je reprends ci dessous le texte de cet extrait :

" Bien que la Vierge de la Roche soit l'objet d'une vénération populaire, aucun document n'en mentionne l'origine. Tous nos renseignements reposent sur des traditions locales recueillies dans la <<Semaine Religieuse>> de 1889.
 

-Une singulière trouvaille-
 

<<Dans les premières années du XIX e siècle, un ouvrier nommé Mathias Prévôt bêchait dans une propriété appartenant à M. le docteur Jean-Baptiste Mougeot quand soudain, sous sa bêche, il rencontre une statue de la Vierge. Désireux de faire honorer Marie dont l'image s'offrait à lui d'une manière singulière, Mathias Prévôt court déposer la statue dans une niche naturelle d'une roche voisine.
 

Bientôt, le bruit de la trouvaille se répand dans les environs et de nombreux fidèles viennent prier aux pieds de la Vierge. Mais en prenant possession de ce coin de terre, Marie ne semblait-elle pas y demander un petit sanctuaire ?

<<Mougeot le comprit et fit construire la chapelle que l'on voit aujourd'hui.
<<Rappelons qu'à cette époque, la Grande et la Petite Avison n'étaient pas boisées, ainsi d'ailleurs que Helledraye, Buemont et Pointhaie. "

Extraits des pages 91 et 92 du Tome III de Paul MICHELON + extrait page 508 en annexe.

Extrait de la Page 508 du Tome III:

" La Chapelle de ND de la Roche alors couverte en tuiles est actuellement recouverte de plaques de tôle. A l'intérieur la grille a été supprimée, l'encadrement entourant la niche abritant la statue a été enlevé pour redonner l'aspect primitif de la roche. L'emplacement très étroit entre l'autel et la grille a été agrandi afin de permettre au prêtre célébrant la messe, d'avoir les mouvements plus libres - mais de ce fait l'emplacement des bancs réservés au public s'est trouvé diminué.

Cette Chapelle fut construite par les soins de J.B. Mougeot et la statue de la Vierge fut trouvée par Mathias Prévôt Voir pages 91 - 92 de ce volume.

Il est très regrettable  que l'on aie pas conservé la pierre devant la grille, surmontée d'une vasque en pierre contenant des fleurs. Les deux pierres paraissaient très anciennes. La pierre debout a été jetée dans le ravin sous la chapelle et brisée. Mon intention était d'en sauver les débris mais ils ont disparu au bout de quelques semaines."

Voulant compléter cet article par quelques CPA et photographies de la Chapelle Notre Dame de la Roche, je me rends compte que la CPA de la page 508 du Tome III de Paul MICHELON est la CPA sur laquelle est mon Grand-Père paternel en tenue militaire. ( Voir l'article "BRUYÈRES-VOSGES : une CPA de grande valeur sentimentale")

N'ayant pas encore eu l'opportunité d'acquérir une CPA de l'intérieur de la Chapelle de la Roche, je présente deux photographies prises alors que la porte de la Chapelle n'était pas encore verrouillée.
Depuis, les actes de vandalisme ont hélas obligé à interdire l'accès de l'intérieur de la Chapelle.

Décembre 2006

Décembre 2006

 La Chapelle Notre-Dame de la Roche depuis quelques années (Cliquer sur les images pour les agrandir) :

Mars 2004

Mars 2004

Décembre 2004

Décembre 2006

Décembre 2006

Mai 2009

Mai 2009

Avril 2010

Avril 2010

Octobre 2010

Octobre 2010

Avril 2012

Août 2012

Août 2012

* Pour voir plus de photographies de la Chapelle Notre-Dame de la Roche, consulter l'album "06-Chapelle de la Roche et Fontaine Saint-Georges"

* Pour voir plus de CPA, consulter l'album "01_CPA-BRUYERES-Cat-1a18"

Tous mes remerciements vont à Paul MICHELON, Jean MICHELON et à Claude BAUMANN pour l'aide précieuse apportée afin d'enrichir  l'aspect historique de BRUYÈRES sur ce blog.

Les visiteurs de BRUYÈRES-VOSGES sauront désormais que la Chapelle de la Roche a été édifiée par Jean Baptiste MOUGEOT sur sa propriété, à l'endroit où Mathias PRÉVOT, avait découvert au début du XIX ème siècle, une statue de la Vierge en bêchant . 

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Complément apporté le 02 Janvier 2013 :

Dans cet article, je relate le fait que la Chapelle de la Roche est aujourd'hui fermée suite à divers actes de vandalisme.

Suite aux échanges par commentaires que je viens d'avoir avec Claude BAUMANN au sujet de la plaque scellée en façade de la Chapelle, je publie ci-dessous une photographie de cette plaque.

Photographie Décembre 2006

Cette plaque nous apprend que les actes de vandalisme ne sont pas nouveaux, il y a de tout temps des indélicats puisque 35 ex-votos ont été brisés en Novembre 1937. La restauration a été menée par l'Abbé H. CLAUDE, Curé de BRUYÈRES.

La plaque est située sur le contrefort gauche de la Chapelle de la Roche, comme vous pouvez le voir sur la photo ci-dessous :

(Photographie prise en Avril 2011 lorsque nous avons eu le plaisir de faire visiter BRUYÈRES à Nobuyo et Mioko, touristes Japonaises -Voir l'article "Avril 2011 : naissance d'une amitié Franco-Japonaise à BRUYERES-VOSGES")

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Août 2012 représente pour moi une découverte de l'Avison, je m'explique :

- La découverte de la tête sculptée de l'Avison que je relate dans mon précédent article "BRUYERES-VOSGES : à la recherche de la tête sculptée de l'Avison",

- La découverte du nouvel aménagement du secteur de la Chapelle de la Roche et de la Fontaine Saint-Georges.
 

Lors de mon séjour d'avril 2012, je m'étais étonné de voir ce secteur un peu remué. Je m'étais rassuré en lisant sur un compte rendu de Conseil Municipal que ce secteur devait faire l'objet de travaux d'aménagement.

J'avais vu en juin, les premières photographies sur le blog de Martine Schnöering (voir la réponse que j'avais apportée à un commentaire sur l'article "BRUYERES-VOSGES, vers un nouvel aménagement au pied de l'Avison").

Voir et photographier ce nouvel aménagement, faisait donc partie de mes priorités pour ce séjour d'Août 2012.
 

Parcourons maintenant ce nouvel aménagement : descendant du Chemin de l'Avison, mon regard se porte immédiatement sur cette balustrade en bois qui remplace une vieille rambarde dont il ne restait plus grand chose.

Je remarque également que de grands arbres ont été préservés, face à la chapelle. J'avoue que lors de mon passage en avril, j'avais surtout remarqué ceux qui avaient été coupés.

Le chemin a été aménagé, nivelé et un mur de soutènement fait de rondins de bois retient les terres.

En descendant vers la Fontaine Saint-Georges, je remarque que le chemin a été refait, ainsi qu'un assainissement dans cette zone particulièrement humide.
A gauche, un amoncellement de pierres permet de renforcer la structure.

A droite, un mur de rondins de bois pour retenir pierres et terre qui seraient tentées de traverser le chemin

Arrivant à l'intersection qui mène à la Fontaine Saint-Georges, le panneau de balisage n'a pas quitté sa place,

Un regard en arrière permet de bien mesurer le confort du chemin ainsi aménagé, de mémoire, il était plutôt caillouteux et humide auparavant,

Un escalier réalisé avec des rondins de bois mène à la fontaine en contrebas.

Le nouvel aménagement n'est pas sans rappeler, la Fontaine Saint-Georges telle que nous pouvons la voir sur les cartes postales anciennes.

Notons qu'il y avait à l'époque une petite niche qui abritait une statuette de Saint-Georges probablement. Difficilement concevable aujourd'hui quand on sait que la Chapelle de la Roche est fermée au public depuis les actes de vandalisme qui y ont été commis.

La photographie ci-dessous s'imposait, pour faire la comparaison avec la carte postale ancienne qui suit.

En revoyant cette photographie de la Fontaine Saint-Georges, prise en avril 2010, il est aisé de voir la transformation réussie du site.

Du haut de l'escalier qui mène à la Fontaine Saint-Georges, on distingue la Chapelle de la Roche, 

Le chemin a été refait de la Chapelle de la Roche jusqu'au parking du parcours sportif de la Petite Avison

La Fontaine Saint-Georges, vue du chemin qui relie la Chapelle de la Roche à la petite Avison

Puis je fais une dernière photographie de la Chapelle de la Roche, 

C'est à ce moment que je rencontre alors Dominique de l'Office National des Forêts, qui me conduira à la tête sculptée de l'Avison.

Une restauration de ce secteur qui est donc à mon avis très réussie, je dirai même que la Fontaine Saint-Georges connaît un renouveau. La seule suggestion que je me permettrais de faire, serait de déplacer la poubelle d'origine située à droite de la Chapelle, à un endroit si possible moins visible.
 

En conclusion, je suis revenu pleinement satisfait de cette découverte du secteur de la Chapelle de la Roche et de la Fontaine Saint-Georges ainsi aménagé. Ces travaux contribuent à la mise en valeur du patrimoine bruyèrois.

Toutes les photographies de cet article sont reprises dans l'album photos "06-Chapelle de la Roche et Fontaine St-Georges"

Bientôt sur BRUYÈRES-VOSGES : les origines de la Chapelle de la Roche avec la contribution de Claude BAUMANN.

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